Les troubles sexuels chez l’homme : quels sont-ils et comment les soigner ?

Le stress, les aléas de la vie, la routine il peut vous arriver d’avoir des petites pannes. Quelles sont les pathologies ou les douleurs ? Attention il ne faut surtout pas les négliger, il est peut être nécessaire de débloquer la situation avec l’aide d’un sexologue. Les troubles de l’érection, l’éjaculation précoce et les difficultés d’éjaculation sont les principales pathologies qui entraînent un homme à consulter un sexologue.

Certes, il existe des médicaments qui permettent de traiter un dysfonctionnement sexuel mais il est important de consulter en parallèle un psychologue sexologue. En effet, il vous aidera à surmonter cette épreuve et l’impact psychologique qu’il peut avoir sur vous.

L’impuissance masculine

L’impuissance sexuelle perturbe la vie de nombreux hommes ainsi que celle de leur partenaire. La virilité et l’épanouissement sexuel sont remis en cause. La démarche n’est pas évidente cependant il peut s’avérer utile d’en parler à un sexologue.

Les troubles érectiles chez de nombreux hommes sont liés à une forte composante psychologique. Cette pathologie peut alors être traitée avec le soutien d’un sexologue avec une approche plus globale et non pas centrée uniquement sur le trouble, à la différence d’un médicament.

Les causes de l’impuissance d’origine psychologique peuvent être diverses. Schématiquement nous pouvons discerner les causes individuelles (l’anxiété, le stress, la dépression) et relationnelles (conflits au sein du couple, attitude négative du partenaire, une rupture).

L’éjaculation précoce

L’éjaculation précoce touche 1 homme sur 5 ! Les causes de l’éjaculation précoce sont souvent d’origine psychologique, elle est bénigne et peut se contrôler avec quelques exercices. Cette pathologie est une entrave à une sexualité épanouie et peut être un frein dans une relation de couple.

Le cabinet Sanquer, sexologue à Paris, vous aide à combattre l’anxiété et à maîtriser votre éjaculation. L’éjaculation précoce n’est pas une fatalité, le tout est d’en parler.